RAVALEMENT DE FAÇADE
Too much is not Enough
Exposition haute-en-couleur, pensée comme un pied-de-nez à la bienséance et au bon goût,
Ravalement de façade s’amuse de ce magma qu’on appelle identité.
Matière fluctuante, imprécise, elle devient ici par le jeu et l’audace ; plurielle,
choisie, sans concession, puissante ouverture sur le monde…
Jouer de son image, s’en emparer, voilà ce qui nous intéresse.

Avec Grégoire Alexandre, Marion Auburtin, Carla Barkatz,
Mike Boursheid, Christophe Brunnquell, Nina Childress,
Beth Frey, Anaïs Gauthier, Arthur Hoffmann, Antony Huchette,
Gil Lesage, Jess Mac Cormak, Sarah Olivier, Nina Orliange,
Aude Perrier, Laurent Poleo-Garnier, Marilou Poncin, Maroussia Rebecq,
Christine Rebet, Caroline Rennequin, Mika Rottenberg

Source : https://www.hyperbien-galerie.com/expositions/ravalement-de-facade/

WE DO NOT WORK ALONE présente du 16 novembre au 23 décembre les céramiques de dix-sept artistes : Sylvie Auvray, Sophie de Bayser, Sandra Berrebi, Florian Bézu, Elvire Bonduelle, Matthieu Cossé, Morgan Courtois, Sébastien Gouju, Superpoly, Jacent, A&F Lamarche-Ovize, Matthew Lutz- Kinoy, Maximilien Pellet, Mai-Thu Perret, Lei Saito, Natsuko Uchino et Zoe Williams.

Assiettes, bols et tasses, plats, carreaux, patères, dessous de plat, vases, jeux, presse-papiers, porte-couteaux, jardinières et pots à partir de 100€, ces pièces uniques sont pour la plupart inédites ! 

 

Du 16 novembre au 23 décembre
du mardi au samedi, de 11h à 18h

au 58 rue du Vertbois, 75003 Paris
 

Depuis que l’humanité fabrique des outils, elle les conçoit à l’image de notre corps. Ils la complètent, en accentuant son efficacité, sa puissance, sa précision ou sa vitesse. La structure même de la machine est fondamentalement organique : une énergie est transformée par un réseau complexe de circuits, de fluides, d’émetteurs et de récepteurs (sang ou graisse, nerfs ou câbles, muscles ou rouages). Pourtant il semble qu’à mesure de son perfectionnement et de la diversification de ses actions, frontières et influences mutuelles se troublent et se chevauchent.

[…] Corpus Machina réunit douze photographes qui interrogent la nature et les causes de ces porosités à travers un médium lui-même en conflit perpétuel entre sa nature mécanique et sa portée émotionnelle : la photographie. Réunis dans les espaces du Consulat Voltaire, les travaux de ces photographes forment un corpus qui refuse la frontière et s’ouvre à la richesse du trouble. Entre le froid du métal et la chaleur d’une peau résonne la construction des désirs, des peurs et des fantasmes qui définissent les nouveaux enjeux de nos rapports au monde et à la technique.

Avec :

Paul Youenn
Eliott Vallin
Albane Durand-Viel
Alix Marie
Ellen Ole
Jean-Vincent Simonet 
Marilou Poncin
Mathilde Soares-Pereira 
Nora Hebir
Quentin Fromont
Thaddé Comar
Yolane Rais

Source : https://www.leconsulat.org/events/corpus-machina-exposition/

Avec les oeuvres de : Scoli ACOSTA, Patxi BERGÉ, Bill CULBERT, Tom DRAHOS, Babeth RAMBAULT.

Collections du Frac-Artothèque Nouvelle-Aquitaine

Opération réalisée par le Frac-Artothèque Nouvelle-Aquitaine pour le FACLim, en partenariat avec la Communauté de communes Xaintrie Val’Dordogne et Peuple et Culture, relais-artothèque pour la Corrèze.

Source : https://www.fracartothequenouvelleaquitaine.fr/index.php/les-expositions/argentat

Commissaires : Jade Barget, Daisy Lambert, Camille Martin, Céline Poulin & Elsa Vettier

Pour les 40 ans des Frac, il s’agit à la fois de repenser l’histoire de l’institution, écrite notamment par le biais de sa collection, et de tendre vers des futurs communs et désirables.

L’exposition Gunaikeîon invite plusieurs commissaires à écrire leur propre récit à partir des œuvres de la collection et dans la rencontre avec d’autres œuvres invitées. Traditionnellement, le gunaikeîon était l’appartement, dans les maisons grecques et romaines, où les femmes passaient la plupart de leur temps et qui se situait à l’écart, afin qu’elles n’aient aucun contact direct avec la rue. Avec cette exposition, il s’agit au contraire d’ouvrir les espaces des Réserves du Frac et de la Chaufferie de la Fondation Fiminco aux quartiers alentours et aux bruits du monde. L’exposition se déploie en plusieurs chapitres où les commissaires proposent une actualisation de la collection à l’aune de leurs obsessions respectives, ancrées dans la société contemporaine.

Avec les œuvres de : Ismaïl Alaoui Fdili, Pierre Allain, Marie Angeletti, Luisa Ardila Camacho, Fabienne Audéoud, Azzeazy, Andrés Baron, Eva Barto, Éric Baudelaire, Safouane Ben Slama, Abdelhak Benallou, Adam Bilardi, Jean-Luc Blanc, Andrea Blum, Sophie Bonnet-Pourpet, Katharina Bosse, Ulla von Brandenburg, Stéphanie Brossard, Dora Budor, Victor Burgin, A.K. Burns, Laura Burucoa (en collaboration avec Shveta Lebonheur, Sara Bouazzaoui, Yasmine Kicha), Bruno Carbonnet, Tom Cazin, Ève Gabriel Chabanon, Nina Childress, Rina Cho & Nozomu Matsumoto, Claude Closky, Lynne Cohen, Mathis Collins, Éric Corne, Bady Dalloul, Fred Deux, Livia Deville, Inès Di Folco, Lana Duval, Xiao Fan, Sylvie Fanchon, Jenny Gage, Lola Gonzàlez, Laurent Grasso, Renée Green, Wiame Haddad, Shuo Hao, Tirdad Hashemi / Soufia Erfanian, Pati Hill, Mayssa Jaoudat, Nanna Kaiser, Atiéna R. Kilfa, Kapwani Kiwanga, Pierre Klossowski, Nile Koetting, Byong Jin Koh, Sasha Litvintseva & Beny Wagner, Ken Lum, Mira Mann, Mélanie Matranga, Ad Minoliti, Arash Nassiri, Jürgen Nefzger, Josèfa Ntjam, Anouchka Oler Nussbaum, Nygel Panasco, Yuri Pattison, Bruno Persat, Émilie Pitoiset, Agnieszka Polska, Philippe Poupet, Marie Preston, Richard Prince, Alex Quicho, Harilay Rabenjamina, Pipilotti Rist, Johanna Rocard, Liv Schulman, Bruno Serralongue, Chloé Serre, Shimabuku, Cally Spooner, P. Staff, Wolfgang Tillmans, Lauren Tortil, Didier Trenet, Michael Van Den Abeele, Sophie Varin, Yuyan Wang, Rehana Zaman & Liverpool Black Women Filmmakers.

Source : https://www.fraciledefrance.com/40-ans-du-frac-gunaikeion/

Durant l’automne-hiver 2023-2024, le Frac MÉCA accueille "Parler avec elles", une exposition conçue par l’artiste Émilie Parendeau qui réunit une cinquantaine d’œuvres, dont une quarantaine provenant de la collection du Frac, un ensemble de peintures de Claude Rutault, en même temps qu’elle accueille des propositions créées spécifiquement pour l’occasion par Florence Jung, Delphine Reist, et Davide-Christelle Sanvee.

Le projet imaginé par Émilie Parendeau s’intéresse aux processus de fabrication de l’œuvre d’art et souhaite attirer notre attention sur le travail inhérent à son exposition.

Lorsqu’une création ne peut être conservée dans son état originel dans les réserves d’une collection, l’artiste accompagne le contrat de vente d’une série de documents (consignes, photographies, plans de montage…) qui permettent de reconstruire l’œuvre au plus près de sa forme initiale. Émilie Parendeau mène depuis de longues années un travail de réflexion sur un ensemble de points, voire de problèmes, que soulèvent les œuvres reposant sur des protocoles, car celles-ci nécessitent un travail pour être exposées, un travail de documentation, de compréhension, de lecture et, inévitablement, d’interprétation. Si toutes les œuvres impliquent quelque chose à accomplir au moment de leur présentation, elles partagent un point commun, la nécessité que quelqu’un les mette concrètement en œuvre.
L’artiste a ainsi choisi de faire dialoguer les œuvres du peintre Claude Rutault, qui a fait de la délégation un principe de travail laissant à la personne qui souhaite voir sa peinture le soin de la réaliser, avec un ensemble d’œuvres du Frac, rarement montrées, notamment CLOM TROK (blanc) de Joël Hubaut qui sera activé sur trois week-ends de novembre à décembre.
Émilie Parendeau a également souhaité collaborer avec trois artistes. Florence Jung, Delphine Reist et Davide-Christelle Sanvee se sont vu proposer de produire chacune une oeuvre dans le cadre de cette exposition.

S’il s’agit bien pour Émilie Parendeau de parler avec elles – les œuvres, il s’agit aussi de créer un espace partagé et de composer une exposition avec toutes celles et ceux qui concrètement la fabriquent.

Cette exposition s’inscrit dans le cadre du 40e anniversaire du Frac MÉCA, et d’une coécriture de projets variés consacrée à la « Fabrique de l’art » et initiée par le Frac, à Bordeaux et en région. Des projets qui s‘intéressent aux fondements de la création, du côté du « faire », des savoirs faire et de la transmission.

Source : https://fracnouvelleaquitaine-meca.fr/evenement/parler-avec-elles/

Conçue en deux actes, elle se déploie sur toute l’année 2023 et revient sur 40 années d’histoire du macLYON.

Le second acte de l’exposition prolonge les interrogations développées dans le premier, non plus par le prisme de la nature organique du corps mais dans sa confrontation à l’autre, à son environnement et au monde. Renouvelée, la sélection des artistes et des œuvres s’intéresse à la manière dont le corps vit,
interagit ou subit un contexte social et sociétal.

Le deuxième acte de l’exposition Incarnations est avant tout dédié à des œuvres de la collection du Musée d’art contemporain de Lyon. Le macLYON souhaite toutefois privilégier un dialogue continu entre la collection et la jeune création. L’exposition est ainsi complétée par une carte blanche proposée à Marilou Poncin, artiste diplômée de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (ENSBA Lyon), de la Gerrit Rietveld Academie d’Amsterdam et de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD). Marilou Poncin explore la notion de fantasme et de construction de la féminité tour à tour objet de désir et forme de pouvoir, en particulier à travers les codes de la culture populaire et des réseaux sociaux, et l’expression des sentiments à l’ère digitale. Elle commente ainsi l’évolution des rapports humains à l’épreuve des technologies.

Artistes : Marina Abramović & Ulay, Eija-Liisa Ahtila, Sunday Jack Akpan, Maxwell Alexandre, Ed Atkins,Edi Dubien, Erró, Marie-Ange Guilleminot,Thomas Hirschhorn, Smaïl Kanouté, Mohamed Lekleti,George Maciunas, Bruce Nauman, Hans Neleman,ORLAN, Mel Ramos, Alain Séchas, Sylvie Selig,Tavares Strachan, Claire Tabouret, Xavier Veilhan,Bernar Venet...

Symbole de liberté, d’affranchissement à l’égard des barrières spatio-temporelles, mais aussi de maîtrise et de possession de la « Nature », l’automobile participe de modes de production, de rapports de domination et d’exploitation à l’origine de la destruction de nos écosystèmes. 

C’est cet héritage moderne qu’aborde l’exposition collective « Humain Autonome : Fossiles Mécaniques » en mettant en regard les imaginaires et les réalités de la civilisation du moteur. Machine à fantasmes, l’automobile est ici réinscrite dans les formes de vie, les systèmes énergétiques, les aménagements territoriaux, l’organisation du travail, les stratégies géopolitiques et les mobilités qu’elle implique - ceux d’un capitalisme fossile qui ne cesse de se survivre à lui-même.

Conçue par les commissaires Marianne Derrien, Sarah Ihler-Meyer et Salim Santa Lucia, cette exposition produite par La Condition Publique, est inscrite en tant que Résonance de la Triennale eurorégionale « Art & Industrie » du Frac Grand Large Hauts-de-France (10.06.2023 - 14.01.2024). Elle est le second volet d’un cycle commencé avec « Joyridin » au Frac Normandie Caen en février 2023 et qui se poursuivra en 2024 au MacVal (Vitry-sur-Seine). 

Regard du Collectif Détente sur la collection du FMAC - 2e exposition

Lauréats de l’appel à projets lancé fin 2022 pour une résidence et deux expositions en 2023 au sein du nouvel espace, le Collectif Détente (Gabrielle Boder, Tadeo Kohan et Camille Regli) explore la collection municipale d’art contemporain comme une archive vivante dans "TEASER I: Index & Scripts", puis comme un espace théâtrale dans "TEASER II: Mises en scènes".

Pour le second volet de sa résidence au FMAC, le Collectif Détente (Gabrielle Boder, Tadeo Kohan et Camille Regli) propose de prolonger ses recherches  sur les collections à travers le prisme de la narration théâtrale.

Imaginée comme un espace performatif à activer, l’exposition se mue ainsi en scène de théâtre, le public se retrouvant au plateau, dans un renversement entre objet regardé et regardant. Une exposition pensée comme un espace-temps dramaturgique fait de rideaux, projecteurs, coulisses et gradins.

La sélection des œuvres qui en découle souligne le caractère ambigu de leur statut : elles deviennent tour à tour accessoires, personnages, décors ou encore spectatrices. Des œuvres choisies pour leur potentiel d’imagination, de fiction et de narration. L’occasion de découvrir ces œuvres qui chacune avec leur histoire individuelle racontent ensemble une histoire commune propre à penser le présent.

Avec la participation de Florence Jung, Leila Peacock et Natalie Portman.

Avec les oeuvres de: Francis Baudevin, Josse Bailly, Daniel Berset, Marc Bauer, Ulla von Brandenburg, Aurélien Gamboni, Eberhard Havekost, Simone Holliger, Elisa Larvego, Eun Yeoung Lee, Beat Lippert, Urs Lüthi, Keiko Machida, Alla Malova, John Miller, Gianni Motti, Amy O’Neil, Jie Qiu, Delphine Reist, Dorian Sari, Denis Savary, Yuki Shiraishi, Ramaya Tegegne, Pierre Vadi, Paul Viaccoz, Anaïs Wenger, Martina-Sofie Wildberger et Robert Wilson.

Source : https://www.fmac-geneve.ch/expositions/teaser-ii-mises-scenes

Ein Unikat in Serie: 75 Jahre Edition VFO – Verein für Originalgraphik

Nach dem Musée Jenisch in Vevey und der Villa dei Cedri in Bellinzona zeigt das Kunsthaus Grenchen Ende 2023 die dritte Museums-Ausstellung im Rahmen des 75-Jahre Jubiläums der Zürcher Institution Edition VFO. Der Kunstverein ist spezialisiert auf die Herausgabe von Kleinstauflagen. Die Ausstellung "Ein Unikat in Serie" präsentiert eine Reihe von Werken, die das Thema der Variation durch serielle Unikate beleuchten. Die ausgewählten Positionen variieren in Motiv, Technik, Format und Grösse und offenbaren einen sehr belebten Diskurs rund um die zeitgenössische Druckgraphik-Produktion, in der es darum geht, nicht nur eine Edition, sondern ein neues Werk zu schaffen.

Eine Ausstellung kuratiert von David Khalat (Direktor Edition VFO) in Zusammenarbeit mit Robin Byland (Künstlerische Leitung Kunsthaus Grenchen). Zu den drei Museumsausstellungen erscheint eine Publikation im Verlag Scheidegger & Spiess.

Une pièce unique en série : 75 ans d'édition VFO - Verein für Originalgraphik

Après le Musée Jenisch à Vevey et la Villa dei Cedri à Bellinzone, le Kunsthaus Grenchen présentera fin 2023 la troisième exposition du musée dans le cadre du 75e anniversaire de l'institution zurichoise Edition VFO. Cette association artistique est spécialisée dans l'édition de très petits tirages. L'exposition "Ein Unikat in Serie" présente une série d'œuvres qui mettent en lumière le thème de la variation par des pièces uniques en série. Les positions sélectionnées varient en termes de motif, de technique, de format et de taille et révèlent un discours très animé autour de la production contemporaine d'estampes, où il s'agit de créer non seulement une édition, mais aussi une nouvelle œuvre.Une exposition organisée par David Khalat (directeur des éditions VFO) en collaboration avec Robin Byland (direction artistique du Kunsthaus Grenchen). Une publication paraîtra aux éditions Scheidegger & Spiess à l'occasion des trois expositions du musée.

Source : https://kunsthausgrenchen.ch/ausstellung/aktuell/

Traduction : DeepL

In the summer of 2023, the Fondation Hermès will publish the book "Savoir & Faire Tsuchi" from Iwanami Shoten as part of its "Skills Academy," which seeks to rethink, pass on, and extend artisanal techniques and handcrafts involving natural materials.

The book will feature translations of selected essays and interviews from the French edition of "Savoir & Faire La terre" (2016), co-edited by Act Sud and the Foundation, as well as eight original texts, interviews, and portfolios by Japanese authors. To celebrate the publication of this book, Ginza Maison Hermes Forum will hold a group exhibition "Emailles and the Body" featuring related ceramic works.

The exhibition will examine the relationship between clay and the body, focusing on emaille (enamel), a material used in ceramics that is transformed into a glassy substance by fire and air. In his essay "Les Emaux" (1947, Savoie), the ceramicist Jean Girel (b. 1947, Savoie) observes the properties of emaille as follows.


Each of the seven artists' works uses the colors and effects of the emaille to create a dialogue with the body. Girel's landscapes, in which emaille plays with time, and Françoise Petrovitch (b. 1964, Paris) animals, whose smooth, glossy surfaces evoke emotions. Masaomi Yasunaga's (b. 1982, Osaka) sculptures remind us that ashes and bones are part of our bodies, and Sylvie Auvrey's (b. 1974, Paris) fetishistic brooms choreograph our daily rituals.

The filmic effect of the emailles also evokes the protective skin and hiding places of our bodies. Yusuke Y. Offhause (b. 1985, Tokyo) builds small architectural structures based solely on his memories, while Agathe Naito (b. 1986, Morges) uses her work to live with the ephemeral nature of ceramics or to hide within their performative vessels. As if reduced to earth and water, the white strata of Machiko Ogawa (born in 1946 in Hokkaido) will envelop us with an abundance of energy that manifests itself in cracks and chips.

Molinier Rose Saumon au Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA du 31 mars au 17 septembre 2023.

Marilou Poncin exposera ses œuvres Skin care, 2021 et Even in plastic things can grow, 2019.

Commissaires : Marie Canet, Emmanuelle Debur, Claire Jacquet.

Depuis le XVe siècle, où les représentations de monnaies métalliques et de scènes de transactions dans la peinture se multiplient, jusqu’au XXe siècle, où une réflexion plus intrusive dans les mécanismes de l’argent apparait, en passant par le XIXe siècle, qui voit son économie de l’art bouleversée par la naissance de l’impressionnisme et le rôle prépondérant du marchand d’art Paul Durand-Ruel, l’imaginaire produit par les artistes à propos de l’argent est riche et permanent.

Quelques cent-cinquante pièces d’horizons divers dans l’histoire de l’art, de Simon Vouet et Louis le Nain à Arman et Warhol, en passant Degas ou Renoir, seront présentées au public dans les salons historiques de l’Hôtel de la Monnaie.